Damnés est une quadrilogie qui a fait couler beaucoup d'encre à pixel sur elle . En bien, ou en mal, j'ai d'ailleurs l'impression qu'une partie de son succes se doit à sa couverture . Croyez le ou non mais j'ai l'impression que beaucoup de ses lecteurs se sont laissé tenter grace a sa beauté . Aurait il oublié qu'on ne juge pas un livre a sa couverture ?
Résumé
Il y a quelque chose de douloureusement familier chez Daniel Grigori. Mystérieux et distant, il capte l'attention de Luce Price dès l'instant où elle le voit le premier jour au pensionnat Sword & Cross à Savannah en Georgie. Il est le seul point positif dans un endroit où les téléphones portables sont interdits, les autres étudiants sont des ratés et des caméras de sécurité observent tous leurs faits et gestes. Bien que Daniel ne veuille rien avoir à faire avec Luce et se met à l'écart pour que le message soit bien clair, elle ne peut pas laisser tomber. Attirée vers lui comme un papillon vers une flamme, elle doit découvrir ce que Daniel cherche tellement à garder secret... Même si ça doit la tuer
Mon avis
Je suis tombé sur cette série tout à fait par hasard, je n'en avais jms entendu parler (je dois vivre dans un caisson isobare) et je me suis dit, pourquoi pas ?
Pour commencer j'étais plutôt contente de voir que la mythologie biblique allait être utilisé, l'avenir me dira si c'est de manière cohérant ou pas. Mais cela a sut éveillé mon intérêt. Je n'avais pas encore croisé de roman de ce genre, si on exclu angel sanctury (qui rejoint le thème mais pas la forme) que j'ai lu il y a une bonne décennie maintenant.
L'histoire donc nous présente tout d'abord une héroïne perturbé, suite à la mort inexpliqué de son petit ami dont elle fut jugé responsable. Luce est envoyée en centre de détention loin de sa famille et de ses amis. Elle y rencontre pas mal de personne dont les portait et les personnalités seront plus ou moins étoffé au file du roman, d'autre auront besoin d'un tome supplémentaire, si ce n'est plus, pour avoir un peu de consistance.
Le premier tome, nous place , au centre d'un triangle amoureux, entre Luce, Cam et Daniel . Et d'ici peu je pense qu'on nous parlera d'apocalypse.
Si les événements s'enchaîne bien, et que l'héroïne découvre tout doucement ,avec nous, ce qu'est réellement son environnement et ceux qui le compose. Je trouve que le roman manque de subtilité sur certain passage. A titre d'exemple les pique nique en amoureux ou on se voit offrir une pomme, qu'on croise par la même un serpent et que dix pages apes la même personne vous offre une figue . J'ai trouvé que l'auteur sur ce coup avait la subtilité d'un rugby man, il ne manquait qu'un panneau clignotant marqué Lucifer .
Malgré tout j'ai trouvé ma lecture plaisante, tout en voulant savoir, de quoi il en retournait.
En me rendant compte a la fin de mon livre que le tome 1 a des allures de prologue de 400 pages.
L'auteur distribuant les informations de manière assez radine, ce qui est dommage, j'aurais voulu en savoir plus. Alors peut être que trop d'information sur ce qu'est l'héroïne risque de la tué, mais moi lecteur ca ne m'aurait pas fait de mal !
Je fus malgré tout agréablement surprise, par la fin, qui même si elle m'a semblé confuse, était étonnante. Tout ce que j'espère c'est que le prologue est fini et que dans le prochain tome les choses vont se mettre en place de manière un peu plus concrète.
Extrait
C'était étrange. Si le reste du campus était parfaitement plat, le cimetière, lui, était en pente. Ses flancs jalonnés de pierres tombales, tels des spectateurs dans une arène , descendaient dans une cuvette, en contrebas. Au milieu, un chemin serpentait dans un labyrinthe de tombes sculptées plus grandes , de statues de marbre et de mausolées.Probablement les sépultures des officiers confédérés ou des soldats issus de familles fortunées. Vues de près, elles devaient être superbes mais, de là-haut, leur poids semblait entrainer le cimetière vers le bas, comme vers un siphon.
Elle venait le trouver chaque jour, désormais, et chaque jour, c'était plus difficile. Voilà pourquoi il partait le lendemain matin pour les Indes ou pour les Amériques. Oui, peu lui importait la destination : où qu'il aille, ce serait plus facile que d'être ici.