Résumé
L’histoire se déroule dans une société ou l’amour est considéré comme une maladie mortel nommé ‘deliria’. Il a donc été décidé de traité ce sentiment comme une affection a éradiqué. C'est ainsi qu’a 18 ans chaque habitant ce voit dans l’obligation de subir le ‘protocole’, opération constituant a l’ablation des zone permettant de ressentir ces types de sentiments . Lena a dix-sept ans, elle vit a Portland, et se prépare pour son Evaluation en vu de sa futur opération . Cette évaluation permettra de déterminé son avenir dans la société aussi bien marital que professionnel. Lena dont l’enfance fut marquée par le suicide de sa mère, atteinte de la deliria. Ayant grandit dans la peur de cette maladie, elle attend avec grand enthousiasme l'application du vaccin , contrairement a sa meilleur amie Hana . A quelques semaine de son opération, des événements vont venir changer la vision que Lena avait du monde .
Extraits
"Symptômes de l’amor deliria nervosa
PHASE UN Préoccupations, difficultés de concentration, bouche sèche, transpiration, paumes moites, vertiges et perte de repères, acuité mentale réduite, pensées confuses, capacités de raisonnement diminuées.
PHASE DEUX Périodes d’euphorie, rire hystérique et redoublement d’énergie, périodes de désespoir, léthargie, modifications de l’appétit, perte ou gain de poids rapide, obsessions, désintérêt pour le quotidien, capacités de raisonnement atteintes, distorsion de la réalité, bouleversement des cycles de sommeil, insomnie ou fatigue constante, pensées et actions monomaniaques, paranoïa, sentiment d’insécurité.
PHASE TROIS (CRITIQUE) Gêne respiratoire, douleurs à la poitrine, à la gorge, ou au ventre, difficultés à déglutir, refus de s’alimenter, disparition totale des facultés rationnelles, comportement imprévisible, désirs et fantasmes violents, hallucinations et visions.
PHASE QUATRE (FATALE) Paralysie émotive ou physique (partielle ou totale), mort.
Si vous pensez que vous ou un membre de votre entourage pourriez avoir contracté le déliria, merci d’appeler le 1800, numéro d’urgence gratuit, pour discuter des mesures à prendre."
"Le passé n'est rien d'autre qu'un poids mort. Il vous lestera comme une pierre. Laissez moi vous donner un conseil : si vous entendez le passé vous parler, si vous le sentez planer dans votre dos ou faire courir ses doigts sur votre colonne vertebrale, la meilleure réaction à adopter, la seule, est de prendre vos jambes à votre coup ."
Mon Avis
On part d’un thème intéressant: et si l’humanité traitait l’amour et les divers sentiments lié a celui-ci, comme une maladie. La société dans Delirium à évolué afin d’enlevé sa part d’humanité a l’homme, et l’a transformé en une sorte de robot froid incapable, entre autre, de toute forme de compassion. Et a titre d’exemple, vu que le protocole a lieu a 18 ans, nous faisons face a une société incapable d’aimé ses propres enfants !
Delirium me laisse une impression assez mitigé à la fin de la lecture de ce premier tome . Ayant lu ici et la des critiques dithyrambiques sur le livre, je m’attendais a tombé sur un coup de cœur . Mais ce ne fut pas le cas.
Lena le personnage principal m’a semblé un peu insipide. Apres les divers traumatisme qui lui sont arrivé je la trouve quelque peu incohérente .Un personnage totalement influencé par son milieu et refusant durant longtemps toute forme de rébellion élever dans ce culte de la peur ( un grand classique). Étrangement le personnage, qui en toute logique aurait du plutôt cassé psychologiquement suite a ses divers traumatisme apparaît plutôt comme gauche et effacé. Lena s’affirme donc au fur et a mesure des chapitres autant au prés du lecteur qu’en tant qu’héroïne crédible .
Il a été donc difficile pour moi d’accroché avec Lena, qui vie un peu dans l’ombre de ses proches, sa famille en premier lieu avec une tante type desperate houswive inintéressante au possible, sa nièce la nelly olsen de service et son Oncle l’homme invisible qui tenait une épicerie (prétexte du texte pour permettre a Lena de sortir un peu de chez elle . ) .
Deux personnages tirent leur épingle du jeu (ouf) Grace l’autre nièce, qui se mure dans un mutisme, forme de résistance contre le monde qui l’entoure. Du haut de ses 7 ans , se petit personnage plein de courage et aurait mérité bien plus de passage dans le roman pour parlé d’elle . On sait que Lena et Grace partage une complicité et est cependant peu abordé . J’espère donc que dans les tomes suivant on la retrouvera, même si j’en doute .
Nous avons ensuite Hana, personnage énergique et fort qui a déjà cette rébellion en elle, étant la seule amie de Lena, elle a une grande influence sur elle . C’est le premier personnage dans son entourage a posé ouvertement des questions sur le système établie et a amené Lena a remettre en cause celui-ci . Cependant son personnage perd au fur et a mesure de l’histoire de l’importance ce qui est assez dommage … Je me console en me disant que l’auteur a écrit une Nouvelle la concernant.
Ensuite vient Alex : le déclencheur, l’amoureux … Ah l’amour interdit, ah le passage guimauve au possible. Comment dire ? Je ne ai pas franchement accroché a cette love story, que j’ai trouvé forcé. Et cliché. La scène dans la cabane du jardinier est a se tordre de rire, tellement on est dans le cliché option mauvaise série pour ado. Qui plus est le couple, monopolise tout le livre, casse souvent le rythme rendant certain chapitre lent, se perdant dans des passages descriptif qui alourdisse l’histoire, et deviennent, en plus, répétitif ...
Pour que celui-ci gagne en crédibilité, on nous effacera quasiment tout les autres personnages ‘positif’ ce qui est regrettable ! On utilisera aussi la bonne veille astuce veille comme le monde du garçon mystérieux, blindé de secret (pour chaque arc de l’histoire, un nouveau secret qu’on nous sort du chapeau) de manière plus ou moins pertinente et relativement cohérent …
Mais au moins, vers les cent cinquante dernières pages l’histoire prend un tournant et a enfin réussit a me captivé. Les choses bougent et ce n’est pas trop tôt. Le final sera cependant en demi teinte de mon point de vu, le coté film d’action a l’américaine (et pas les meilleurs) on l’air d’avoir un peu trop influencé l’auteur, et ce n’est pas forcement du meilleur gout, voir limite ridicule …. Ni très réaliste d’ailleurs. Mais bon, ces dernier chapitre (en dehors de la scène final, donc ) aura au moins eut le mérite de me donné envie de savoir la suite .
